Il s’agit, à travers ce livre, de s’intéresser à la nature des transformations intellectuelles et scientifiques dictées par la thermodynamique ; transformations liées aux phénomènes physiques, biologiques et cosmiques en général.

Selon l’auteur, les lois de la thermodynamique influencent, au moyen du réexamen de nombreux postulats, la compréhension de l’ordre de l’univers.

Ces lois ont, également, permis de rectifier plusieurs concepts classiques et de résoudre maintes problématiques liées à la complexification physique et biologique, offrant, ainsi, les conditions scientifiques nécessaires à la compréhension des thématiques de l’infini, de l’énergie et de l’ordre de l’univers.

Dans cet ordre d’idées, Dr Rafik Boukhris insiste sur le lien perpétuel entre la dialectique philosophie-science. Grâce au caractère problématique de la philosophie, les scientifiques étudient toutes les questions, en quête de vérité. Leur arme étant la relativité.

De ce fait, l’auteur a souligné l’importance des théories de la relativité et des quanta, ainsi que la nécessité de reconnaître les erreurs scientifiques et de les réviser.

Et c’est grâce aux découvertes scientifiques, que se renouvelle la question philosophique, en phase avec la citation de Léonard De Vinci : « Le plus noble des plaisirs est la joie de comprendre », à laquelle se réfère l’auteur, en prélude de l’ouvrage, pour distinguer, d’une part, entre les porteurs d’une conscience problématique en état de questionnement constant et, d’autre part, les esprits dogmatiques qui se désintéressent des questions existentielles et cosmologiques et qui se révoltent contre les avides de questionnements.

Dans cet ordre d’idées, Dr Rafik Boukhris insiste sur le lien perpétuel entre la dialectique philosophie-science. Grâce au caractère problématique de la philosophie, les scientifiques étudient toutes les questions, en quête de vérité. Leur arme étant la relativité.

De ce fait, l’auteur a souligné l’importance des théories de la relativité et des quanta, ainsi que la nécessité de reconnaître les erreurs scientifiques et de les réviser.

Et c’est grâce aux découvertes scientifiques, que se renouvelle la question philosophique, en phase avec la citation de Léonard De Vinci : « Le plus noble des plaisirs est la joie de comprendre », à laquelle se réfère l’auteur, en prélude de l’ouvrage, pour distinguer, d’une part, entre les porteurs d’une conscience problématique en état de questionnement constant et, d’autre part, les esprits dogmatiques qui se désintéressent des questions existentielles et cosmologiques et qui se révoltent contre les avides de questionnements